Voici quelques suggestions. Francis « Le 7eme anitiquaire au gros bras de 17 pouces avec des mags » Ouellette m’a parlé de Traboulidon, une émission jeunesse de Radio-Canada avec Sylvie Léonard et Denis Mercier.
Parlant Mercier, Benoit m’a fait rappelé le thème de Dossier Mystère avec Jean Coutu, pas le pharmacien, l’original Survenant.
J’ajoute le générique de l’émission du Tac au Tac. C’est le genre d’émission dont on se rappelle davantage pour son générique que pour son contenu.
Du côté du Rest of Canada, je donne une mention d’honneur à The Edison Twins (Tom et les jumeaux).
P.S.: En passant, je cherche encore des cassettes de l’émission Start Here – Adventures into Science. C’est une émission éducative qui jouait à Radio-Québec sous le nom Conrad le robot.
Dans les années 90, la compagnie Molson a décidé de jouer sur la fibre patriotique canadienne pour faire la promotion de sa bière Canadian (Oui, on le sait que c’est de la Laurentide au Québec…). Voici la publicité avec Joe Canada dont l’idée était de jouer sur les stéréotypes entretenus à notre égard.
À Toronto, des gens inspirés ont fait une parodie réussie avec un archétype québécois. Est-ce que je suis le seul qui pense que Guy sonne comme Richard Martineau?
Finalement, notre futur Gouverneur général du Canada, William Shatner, nous a offert une performance humoristique lors d’un gala Juste pour rire.
S’il pleut ce week-end, je vous suugère d’écouter Canadian Bacon de Michael Moore avec John Candy.
Ok, mea culpa. Ça fait déjà 3 semaines que je n’ai pas écrit d’article. Quel est le premier sujet qui me tombe entre les mains? La J-Pop. Pour une brute barbue qui aime le folk et la tourbe, quel univers!
En fait, j’ai toujours eux une relation amour-haine avec la J-Pop. Tout a commencé en 1994, à la Polyvalente de Beauharnois, où j’ai rencontré l’ultime geek. Je suis allé dans un de ses partys dans lequel une gang de gars écoute du hentai et joue à un genre de jeux de rôles où il faut que tu baises pour avoir tes EXP. Toast au beurre de pinottes, root beer, karaoke japonais. Ça commence mal.
1998, je veux jouer à Warcraft 2 et je dois aller chercher la copie chez un ami d’ami. J’entre chez le dit ami qui me retient pour écouter la version symphonique de la trame sonore de Final Fantasy 6 et sa collection (trop immense selon moi) de jeunes chanteuses nymphettes nippones. Ça sent le geek en papier usé. NEXT!.
2005, je fais de la radio universitaire et recherche du rockabilly japonais. Je sais qu’il y en a beaucoup. Ma partenaire radiophonique dérape vers le J-Pop, me montre des vidéos et pointe des chanteuses en disant : « Tu la f*****ais-tu, elle? » Les 6 heures de recherche musicale les plus longues de ma vie, après ma recherche sur le syndrôme d’Helmut Lotti.
Depuis le GeekFest, j’ai dans la tête une chanson qui a joué lors du concours de Cosplay. La recherche n’a pas aboutie, mais je vous présente 2 cours vidéo qui m’ont permis de me réconcilier.
Voici d’abord un mélange entre du No FX et Aqua.
Avec la prochaine toune, j’ai l’impression d’être prisonnier de Katamari Damacy où les chanteuses arrêtent pas de dire « CHOQ.FM! »
Un beat bonbon, des jolies japonaises en costume, des chorégraphies parfois boiteuses et plein de couleurs. Qui ne peut pas sourire?
Comme certains d’entre vous le savent, le mandatde son Excellence la très honorable Michaëlle Jean, chancelière et compagnon principale de l’ordre du Canada, chancelière et commandante de l’ordre du mérite militaire, chancelière et commandante de l’ordre du mérite des forces de police, gouverneure générale et commandante en chef du Canada (c’est son titre au complet) tire à sa fin en septembre 2010, après 5 ans de fonction.
Stephen Harper, qui a décidé de ne pas renouveler le mandat, doit maintenant trouver un successeur digne de ce titre. Qui a assez d’étoffe et de classe pour être le représentant de la Reine au Canada, Chef honoraire des armées et de la police et le plus grand ambassadeur du Canada?
Il y a un groupe sur Facebook qui propose William Shatnercomme candidat au poste de numéro 1 du pays. Même si le groupe n’a aucune valeur légale, car le gouvernement canadien ne reconnait pas les manifestations en ligne, c’est une idée pas conne.
La liste des distinctions de Michaëlle Jean est longue. Quelles sont celle de M. Shatner? Il a gagné deux Emmys, un Golden Globe et un Saturn. Il a son étoile au Canadian Walk of Fame et au Hollywood Walk of Fame. Il est reconnu comme étant un grand humanitaire et comme icône de la culture populaire.
Malgré cette blague, c’est un pensez-y-bien. Nos gouverneurs généraux étaient bien journaliste (Jean), encore journaliste (Clarkson), ou bien journaliste et politicien (LeBlanc).
Pour vous convaincre, voici son interprétation de « Rocket Man ».
Pour la période des séries éliminatoires de la LNH, Bell a sorti une application Facebook qui permet de mettre une barbe ou une moustache à une de vos photos. Déjà, je vois plusieurs de mes amis avec leur photo modifiée.
Comme tout québécois, j’aime le hockey et j’aime les Canadiens en tant que symbole culturel. Mais cette année, on n’a pas réussi à m’accrocher. J’ai donc décidé de m’amuser avec l’application et faire des coupes de cheveux avec des personnalités québécoises atteintes de calvétie.
J’enchaine avec un autre acteur imposant, le québécois d’origine allemande James Hyndman. Je lui ai donné la coupe Guy A. Lepage / 1986.
Parlant humoriste, j’ai ajouté un monosourcil de gnome à Martin Matte.
D’accord, je vais m’écarter de personnalité québécoise quelques instants pour vous présenter l’homme de foi de la sci-fi John Locke, de la sére Lost. Afin de lui donner un peu plus de raison, quoi de mieux que des sourcils vulcains.
Finalement, je ne pouvais pas passer à côté de mon crâne préféré, que j’ai embrassé maintes fois. Il est collaborateur pour les Mystérieux Étonnants, il est ninja avec Roadkill Superstar, tout le monde est son frère. Mesdames et messieurs, le Poil d’Or est remis à la coupe « douchy » de Yoann-Karl Whissel.
Merci d’avoir lu mon article tiré par les cheveux.
Je continue dans la nostalgie et je demande votre contribution. Ouvrons notre mémoire collective et cherchons la meilleure intro de la télévision québécoise.
Quels sont les critères? Une musique accrocheuse, la qualité vidéo, l’effet surprise et, surtout, le fait de l’écouter à répétition. En passant les années 80 nous offre de beaux thèmes psychotroniques.
Voici quelques thèmes de notre télé. Commençons avec une émission pour enfant que s’est étiré sur 4 décennies : Bobino.
Je dois vous avouer que j’ai un faible pour Gilles Latulippe. Et les émissions de Marcel Gamache sont les derniers bastillons de la comédie burlesque québécoise. Avec sa musique rag-time, Les Brillants ont une intro simple mais marquante.
Plus récemment, le thème des Invincibles étaient fort efficace et les auteurs nous ont fait la surprise de créer un thème alternatif pour la troisième saison.
Finalement les dimanches soir, avec un plat de pop-corn à la casserole, quoi de mieux que les Beaux Dimanches.
…
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J’attends vos soumissions.
– Intro-Eric Gagnon
P.S.: En passant, je cherche des cassettes de l’émission Start Here – Adventures into Science. C’est une émission éducative qui jouait à Radio-Québec sous le nom Conrad le robot.
La semaine dernière, j’ai publié un article sur 1995.
Je pensais au clip Buddy Holly de Weezer. Mais, vous rappelez vous de l’autre clip offert? Réponse: Good times d’Edie Brickell. Un thé chai avec des loukoums.
En préambule, je tiens à dire que j’écoute du Zachary Richard. Extra.
J’ai appris par un article de Bruno Guglielminetti que les productions René Ferron International ont mis sur Youtube des extraits de leurs émissions produites pour la défunte station TQS.
La maison de production s’occupait de SOS Télé (un genre de J.E. sympathique) et Caméra 87, 88, 89… De beaux moments en perspective.
Le reportage sur Roger Drolet est passionnant. Faites attention au bag! LE BAG!!! LE BAG MAN!!! BAGMAN!!!
Pour l’instant, il y a 30 vidéos, mais d’autres seront à venir.
Imaginez que nous sommes le 23 août 2010. C’est concept. Je vais avoir un texte déjà prêt pour cet été.
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Il y a 15 ans aujourd’hui, Microsoft sortait Windows 95 qui a été une révolution et qui a fait grincer des dents bien des gens. Nous avons entre autre été introduit au Blue Screen of Death.
J’ai donc décidé de me rapporter en 1995-1996 et faire une liste des choses pour vous plonger dans une belle nostalgie.
Vers 1995:
– Mon navigateur était Netscape et mon moteur de recherche était Altavista
– J’ai fais un thème, Final Fantasy 3 (6 au Japon), pour mon ordinateur, un Pentium 133 ($*%# de Kefka était psycho);
– Les gens ne disaient pas que La toile du Québec était de la marde;
– Je chattais sur mIRC, ensuite sur ICQ;
– Je téléchargais des wavs d’Elvis Gratton;
– Je jouais à Doom en réseau et je me rappelle de IDDQD;
– Il y avait des Bye Bye à la fin de l’année;
– Musique Plus jouait de la musique;
– CKOI : François Pérusse le matin, les Midis Fous et le 6 à 6 le soir.
– J’avais déjà usé deux albums de Nevermind et un album Tragic Kingdom dans mon disc-man;
– J’étais en amour avec Alanis Morrissette, Abeille Gélinas et Charlotte Laurier;
– J’enregistrait des Bleu Nuit sur VHS;
– Michel Couillard avait déjà eu 12 maladies vénériennes;
– Je me faisait clancher à Mortal Kombat II;
– Undertaker était mon lutteur préféré (pas de changement);
– J’étais accro aux films Desperado, Toy Story et… Judge Dredd;
– Ma soeur, elle, trippait sur Casper avec le beau Devon Sawa;
– J’allais voir mes chums en vélo, pas en char;
– On pouvait sortir de la bière et des cigarettes, même mineur;
– Un brillant politicien a dit une connerie : « L’argent et les votes ethniques…« ;
– La mort des Nordiques et Casseau pète une coche au Bleuet Bionique pour s’en aller à Denver… et gagner la coupe;
– Finalement, mon poil commençait à pousser… et ce, jusqu’en 2002.
En prime, voici une photo de moi à l’époque dans une phase Kiss… Come on! J’étais jeune!
Dans ma lancée d’article faisant le pont entre la lutte et les comics, je vous fait part d’une entrevue que CM Punk (Phillip Brooks) a accordée à Marvel.com.
Il raconte que sa passion pour les comics a débuté lorsqu’il s’est mis à lire G.I. Joe de Larry Hama et que le premier emploi qu’il a occupé de commis dans une librairie spécialisée.
Il nous parle aussi de son personnage préféré, le Punisher, et de celui qu’il déteste, Captain America. Le fait qu’il s’est enjecté un serum pour acquérir ses pouvoirs va à l’encontre de son mode de vie, le straight-edge.
Il explique aussi que les jeunes s’identifient à son adversaire actuel, Rey Mysterio, qu’il considère comme une version lutteur de Spider-Man. En contrepartie, il se compare à Doctor Doom.
Il termine en donnant quelques conseils straight-edge aux superhéros : Wolverine devrait cesser de fumer, Nick Fury devrait lâcher son cigare et il prendrait un malin plaisir à battre Captain America.
Un long article intéressant que vous pouvez lire ICI
La WWE, en collaboration avec Titan Publishing, a sorti le premier numéro de WWE Heroes. Les scénarios sont écrit par Keith Champagne (World War III, Countdown : Arena) et dessinés par Andy Smith.
J’ai toujours trouvé intéressant de faire un parallèle entre les comics et le monde de la lutte. Les lutteurs sont des superhéros grandeur nature qui face à un combat du bien contre le mal et d’autres conflits basés sur la loyauté et l’honneur.
En voyant les premières pages, on ne peut s’empêcher d’avoir un sourire en coin. Sur la couverture, il y a Undertaker, Triple H et John « Superman » Cena qui se battent contre des zombies et des hommes-léopards. Les dessins manquent de profondeur et les mouvements sont faux comme un film d’action philippin.
Du point de vue du scénario, quand on se met à comparer Excalibur à une chaise en aluminium, je dépose ma toast confiture-beurre d’arachide pour bien me frotter les yeux.
Est-ce que la WWE aurait sauté le requin? Non. Je crois plutôt qu’elle a sauté d’une échelle pour assommer le %*$& de requin avec une chaise.
Mon monde de la lutte et du comic est commutatif. En voici quelques exemples:
– Jerry « The King » Lawler a récemment dessiné la couverture d’une épisode du Green Hornet écrite par Kevin Smith ;
– Shelton Benjamin est un dessinateur accompli et a déjà considéré faire carrière dans le domaine ;
– Raven (Scott Levy) a dessiné une réédition d’une histoire de Spider-Man où il affronte Crusher Hogan pour tester ses pouvoirs ;
– « Macho Man » Randy Savage jouait Bonesaw McGraw dans le premier film de la série Spider-Man.
Samedi soir, en prenant une bière avec Steve du Michigan, j’ai appris que Christopher Klucsaritis était décédé à l’âge de 40 ans d’un probable suicide dans son appartement de Sunnyside, son quartier de naissance.
Klucsaritis était physiothérapeute, diplômé de l’Université de Buffalo, avant de commencer sa carrière de lutteur. En 1997, il est entré dans les ligues majeures au sein de la WCW avec le personnage de Mortis, une reprise de Reptile dans Mortal Kombat.
Il a ensuite laissé tomber ce personnage pour rejoindre Raven (Scott Levy) et sa couvée (The Flock), un groupe de lutteur grunge et ostracisé. Lors de la dissolution du groupe, il a formé la Triade du New Jersey avec feu Bam Bam Bigelow (Scott Bigelow) et Diamond Dallas Page (Page Falkinburg). Suite à plusieurs tumultes, il a entretenu une longue rivalité avec Page.
Il a ensuite brièvement travaillé pour la WWE, lorsqu’elle a acheté la WCW. Il est devenu un lutteur de troisième plan et son intérêt pour le milieu s’est amoindri.
Vers 2004, les blessures ont ralenti sa carrière à un tel point qu’il a pris une retraite prématurée.
Il était un des rare lutteur à s’être déclaré homosexuel.
Sa mort s’ajoute à une longue liste des lutteurs professionnels décédés prématuremment, vers l’âge de 40 ans, pour cause d’overdose, de défaillance cardiaque ou de suicide.
70 000 spectateurs dans le milieu de l’Arizona, 10 match, 3 ceintures en jeu, des kilos de feu d’artifice. Dimanche dernier, c’était Wrestlemania.
Nous nous sommes retrouvé dans un loft de la rue Mont-Royal pour écouter cet événement disponible via Internet pour la « modique » somme de 55$. Quelle bonne idée, mais est-ce qu’on savait qu’il est pratiquement impossible de se connecter avec un Mac? Non. Alors, on s’est mis à surfer les P2P, Justin, etc. Tanné de jongler, nous avons cessé de regarder après 5 matchs. Je viens de regarder les 5 autres et voici mon analyse.
En pré-événement, il y a eu une bataille royal pour faire plaisir à Israël. C’est l’étoile montante Yoshi Tatsu fut le vainqueur.
Premier match de la soirée Big Show et The Miz contre John Morrison et R-Truth pour le titre par équipe. Big Show a lutté intelligemment tandis que les autres ont montré qu’ils avaient du coeur au ventre.
Ensuite, le match entre Randy Orton, Cody Rhodes et Ted DiBiase. Remarque de Benoit : « Cody porte le tri-force sur ses bottes ». Remarque de David : « Ha! C’est Ted DiBiase, le Marine 2 ». Un match dominé par Orton qui a été impitoyable et sans merci. Le public semblait s’en réjouir : serait-ce la fin de l’ère de la lutte familiale?
S’il n’y a qu’un seul match à voir lors de cet événement : Money in the bank. Simplement wow. Les 10 lutteurs nous ont offert un match sans temps mort où chacun à eu sa place. Moment intéressant : l’utilisation innovatrice de l’échelle par Kofi Kingston. Moment d’interrogation : Jack Swagger, gagnant? Vraiment? Quatre étoiles et demie sur cinq.
Nous avons eu un bref arrêt lorsqu’ils nous ont montré les nouveaux intronisés au Temple de la Rénommée. Ted DiBiase et Antonio Inoki, la classe. Quand Howard Finkle a annoncé Mad Dog Vachon, les cris se sont fait entendre dans le loft. Un brin de fierté.
Shaemus contre Triple H est un match transitoire qui aurait gagné à être plus agressif. Point.
Rey Mysterio a affronté le straightedge CM Punk. Les deux pugilistes sont reconnus pour leur agilité et ils ont démontré leur talent dans un match court, vivant et efficace. Il devrait y avoir une suite à cette rivalité.
Bret Hart contre Vince McMahon : 13 ans d’attente et la famille Hart s’est payé un party. Le ring était entouré des membres de la famille Hart qui étaient présents pour l’intronisation du patriache, feu Stu Hart. Tout le monde a mis la main sur McMahon qui s’est prêté volontiers au jeu de la vengeance. Un match techniquement peu intéressant, mais satisfaisant dans l’optique où on ferme un grand chapitre.
À partir de ce moment, la vidéo était intermittente et on a décidé d’écouter des vieux clips de lutte. Voici la suite que j’ai vu en solo.
Edge contre Jericho pour le titre des poids lourds. Un match long à démarrer, mais qui nous a réservé des surprises. Les deux lutteurs étaient en feu et voulaient démontrer qu’ils ont leur place comme tête d’affiche. En prime, ils étaient à deux doigts de briser la table des commentateurs mexicains.
Cena contre Batista était un match correct. John Cena, qui est supposé être favori du public, s’est fait accueillir dans un mélange d’applaudissements et de huées. Quand la WWE va comprendre que Superman est mort?
Il n’est pas fréquent qu’un match sans championnat soit la tête d’affiche de Wrestlemania. Le combat entre Shawn Michaels et The Undertaker n’a pas déçu. En entrant dans le ring, le regard profond de Shawn Michaels en disant long. Underaker, fidèle à lui même, a fait son entrée théâtrale et lugubre. Aucun temps mort, Hickenbottom et Calaway se sont donnés comme si c’était leur dernier match… et c’était le cas. Les deux athlètes ne semblaient qu’avoir 20 ans. Ceux qui ont vu le match se rappelle de la mise en scène du dernier acte de ce combat.
Au début de l’article, j’ai dit que j’ai payé 55$ pour un événement qu’on ne peut visionner avec un Mac. C’est une chose qui devrait être améliorée. Je peux vous dire que le service à la clientèle de la WWE est hautement efficace, car j’ai été remboursé rapidement. Un modèle à suivre.
Depuis 20 ans, il domine le ring. Il est un personnage plus grand que nature et son histoire est représentative de l’évolution de la lutte durant les deux dernières décennies: The Undertaker.
The Undertaker (appelé Le fossoyeur par Edouard Carpentier) est interprété par Mark William Calaway, un texan de 6 pieds 10 pouces. Il est à la fois imposant et extraordinairement agile pour un homme de sa taille. Il est aussi connu pour ses innovations dans les stipulations de match telles que le Casket Match (CHUCK NORRIS ALERT), le Buried Alive, le Last Ride et l’infame Hell in a Cell qui est un match cage avec plafond.
Ses exploits dans le ring sont sans importance quand on les compare et l’évolution de son personnage à la théâtralité de ses matchs.
The Undertaker est un entrepreneur de pompes funèbres froid et zombiesque. Il ne répond pas à la douleur et semble pratiquement invincible. Ses pouvoirs proviennent de la urne contenant ses cendres qui est porté par son père adoptif et employé du salon funéraire de ses parents, le fantômatique Paul Bearer(Bill Moody). Les lutteurs qui étaient victime de sa puissance quittait le ring dans un sac à cadavre transporté sur ses épaules. Les promotions de ses matchs étaient à glacer le sang. La voix inquiétante de Bearer combinée aux râlements désincarnés du Undertaker faisaient de leur partenariat une inquiétante morbidité.
Plus il entrait en contact avec des lutteurs, plus il s’humanisait. Il prenait conscience de son essence et de son passé. Il se rendait compte qu’il était l’outil de destruction de Paul Bearer. Ce dernier tentait de mettre plusieurs freaks sur son chemin pour l’anéantir. Bearer a gagné la confiance de Mankind (Mick Foley), une âme torturée qui parlait aux rats et qui adorait la douleur en s’automutilant. Il l’a convaincu d’aller à la poursuite du Undertaker, mais l’opération n’a pas été concluante.
Suite à cet échec, Bearer a décidé de sortir au public un secret concernant le passé du Undertaker. Dans sa jeunesse, il a littéralement joué avec le feu causant l’incendie de la maison familiale et tuant ses parents. Bearer, qui était à l’intérieur, et a survécu et a transporté le jeune frère du Undertaker physiquement et psychologiquement blessé dans un hôpital psychiatrique. Ce frère, Kane (Glenn Jacobs), a grandit en cultivant une haine pour les actions qui ont été posé.
Undertaker a longtemps évité par confronter sa chair et son sang, mais Kane s’est mis à tout détruire sur son passage pour attirer l’attention de son frère. Afin d’arrêter ce carnage, Undertaker a accepté le combat sous une stipulation: que le ring soit entouré de feu. Défait, Kane a compris qui était le plus fort et les frères se sont réconciliés unissant leur pouvoir pour dominer le circuit de la WWE. Ayant fait la paix avec son passé, Undertaker pouvait maintenant s’occuper du son avenir.
L’esprit éclairé de tourment, il a reçu l’appel d’une force supérieure qui lui dicta sa destinée, Possédé, il a fondé le Ministère des ténèbres où il sacrifiait certains lutteurs pour grossir ses rangs. Entouré d’acolytes et des sbires, le Ministère s’est infiltré au sein du siège social de la WWE et s’est fusionné à celui-ci.
Épuisé par la soif de pouvoir, Undertaker a laissé tombé tout côté mystique et son immortalité. Il a pris sa forme humaine pour vivre ce qu’aurait été sa vie: un motard sauvage et solitaire, mais libre. Kane a vu que son frère était vulnérable et s’est mis à sa poursuite. Finalement, il tua son frère en l’enterrant vivant.
L’âme du Undertaker s’est mise a hanté Kane. Paul Bearer, qui a longtemps été le gardien des pouvoirs du Undertaker, l’a réanimé pour qu’il assouvisse sa vengeance. Une fois les choses rétablies, Undertaker voulait son indépendance complète: il a, à son tour, enterré Bearer vivant. Depuis, Undertaker continue de combattre sous sa forme ressuscitée.
Depuis 20 ans, il domine le ring. Il est un personnage plus grand que nature et son histoire est représentative de l’évolution de la lutte durant les deux dernières décennies: The Undertaker.
The Undertaker (appelé Le fossoyeur par Edouard Carpentier) est interprété par Mark William Calaway, un texan de 6 pieds 10 pouces. Il est à la fois imposant et extraordinairement agile pour un homme de sa taille. Il est aussi connu pour ses innovations dans les stipulations de match telles que le Casket Match, le Buried Alive, le Last Ride et l’infame Hell in a Cell qui est un match cage avec plafond.
Ses exploits dans le ring sont sans importance quand on les compare et l’évolution de son personnage à la théâtralité de ses matchs.
The Undertaker est un entrepreneur de pompes funèbres froid et zombiesque. Il ne répond pas à la douleur et semble pratiquement invincible. Ses pouvoirs proviennent de la urne contenant ses cendres qui est porté par son père adoptif et employé du salon funéraire de ses parents, le fantômatique Paul Bearer (Bill Moody). Les lutteurs qui étaient victime de sa puissance quittait le ring dans un sac à cadavre transporté sur ses épaules. Les promotions de ses matchs étaient à glacer le sang. La voix inquiétante de Bearer combinée aux râlements désincarnés du Undertaker faisaient de leur partenariat une inquiétante morbidité.
Plus il entrait en contact avec des lutteurs, plus il s’humanisait. Il prenait conscience de son essence et de son passé. Il se rendait compte qu’il était l’outil de destruction de Paul Bearer. Ce dernier tentait de mettre plusieurs freaks sur son chemin pour l’anéantir. Bearer a gagné la confiance de Mankind (Mick Foley), une âme torturée qui parlait aux rats et qui adorait la douleur en s’automutilant. Il l’a convaincu d’aller à la poursuite du Undertaker, mais l’opération n’a pas été concluant.
Suite à cet échec, Bearer a décidé de sortir au public un secret concernant le passé du Undertaker. Dans sa jeunesse, il a littéralement joué avec le feu causant l’incendie de la maison familiale et tuant ses parents. Bearer, qui était à l’intérieur, et a survécu et a transporté le jeune frère du Undertaker physiquement et psychologiquement blessé dans un hôpital psychiatrique. Ce frère, Kane (Glenn Jacobs), a grandit en cultivant une haine pour les actions qui ont été posé.
Undertaker a longtemps évité par confronter sa chair et son sang, mais Kane s’est mis à tout détruire sur son passage pour attirer l’attention de son frère. Afin d’arrêter ce carnage, Undertaker a accepté le combat sous une stipulation: que le ring soit entouré de feu. Défait, Kane a compris qui était le plus fort et les frères se sont réconciliés unissant leur pouvoir pour dominer le circuit de la WWE. Ayant fait la paix avec son passé, Undertaker pouvait maintenant s’occuper du son avenir.
L’esprit éclairé de tourment, il a reçu l’appel d’une force supérieure qui lui dicta sa destinée, Possédé, il a fondé le Ministère des ténèbres où il sacrifiait certains lutteurs pour grossir ses rangs. Entouré d’acolytes et des sbires, le Ministère s’est infiltré au sein du siège social de la WWE et s’est fusionné à celui-ci.
Épuisé par la soif de pouvoir, Undertaker a laissé tombé tout côté mystique et son immortalité. Il a pris sa forme humaine pour vivre ce qu’aurait été sa vie: un motard sauvage et solitaire, mais libre. Kane a vu que son frère était vulnérable et s’est mis à sa poursuite. Finalement, il tua son frère en l’enterrant vivant.
L’âme du Undertaker s’est mise a hanté Kane. Paul Bearer, qui a longtemps été le gardien des pouvoirs du Undertaker, l’a réanimé pour qu’il assouvisse sa vengeance. Une fois les choses rétablies, Undertaker voulait son indépendance complète: il a, à son tour, enterré Bearer vivant. Depuis, Undertaker continue de combattre sous sa forme ressuscitée.