Cette chanson de l’artiste pop britannique Mika et du producteur suédo-marocain RedOne est la pièce-titre du premier (et excellent) film Kick-Ass qui est sorti en 2010; elle n’a pas vraiment connu le succès sur les palmarès si ce n’est qu’elle a atteint le top 10 en Italie et en Irlande.
Le vidéo-clip mélange des images du film avec un Mika magané et abandonné dans une ruelle dont le physique ressemble grandement au personnage de Kick-Ass.
Le photographe canadien Jeff Freisen, aidé de sa petite fille, a décidé de représenter avec humour les 50 états américains en utilisant des Lego. Il en est sorti une série de clichés des plus amusants tel celui ci-haut qui met en scène le Nouveau-Mexique.
Vous pouvez en voir une dizaine d’autres après le saut.
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Cette vidéo compile les 14 « caméos de fenêtre » que l’on a pu voir dans la série télé de Batman (1966-1968). On y remarque notamment Jerry Lewis, Dick Clark et Sammy Davis Jr., mais aussi le Green Hornet (Van Williams) et son acolyte Kato (Bruce Lee) de la série télé qui était diffusée au même moment de 1966 à 1967.
Cette série de quatre magnifiques figurines croise l’univers des Teenage Mutant Ninja Turtles avec celui de Hello Kitty.
Ces figurines, qui sont hautes de six pouces, sont disponible en édition limitée (que 1000 exemplaires) et elles se vendent autour de 75 $ sur le site japonais DCT.
En 1987, le film Dragnet a connu un certain succès au box-office.
Cette comédie mettait en vedette Dan Aykroyd, dans la peau du détective Joe Friday et son nouveau partenaire Pep Streebek (qui était incarné par Tom Hanks).
Ces deux vedettes ont participé à la bande sonore du film en chantant sur une pièce de hip-hop intitulée City of Crime. Cette vidéo en est le clip officiel.
Notons que ce film est l’adaptation cinématographique de la populaire série policière du même nom qui était en ondes de 1957 à 1960.
Kim Jung Un, le leader de la Corée du Nord (et ami de Dennis Rodman), est un personnage récurrent dans les vidéos de College Humor. Leur plus récente le met en scène dans un réel combat de Pokémons.
Chapeau!
L’illustrateur français PEZ (Pierre-Yves Riveau de son vrai nom) a créé une série de dessins des plus »creepys » qui s’intitule Distroy. L’artiste y reprend des icônes tout droit sortis de la culture populaire tels les univers de Disney, des Simpsons et de South Park et il détruit leurs innocences en les défigurant et les déconstruisant, en les propulsant dans un monde des plus délabrés. Le tout est plus que sombre et glauque à souhait, mais demeure des plus admirables et fascinant. Et surtout, surtout ses oeuvres sont véritablement uniques bien que certains y créent un rapprochement avec celles de l’artiste de rue chinois DALeast.
Vous pouvez admirer d’autres de ces pièces après le saut.
Suite aux terribles événements qui ont récemment dévasté les Philippines, l’Institut du film Ciné-Asie, le Festival international de films Fantasia et l’Université Concordia proposent le samedi 23 novembre prochain deux projections-bénéfices. La contribution minimale pour ces projections-bénéfices est de 10 $ et 100 % des recettes seront remis à la Croix-Rouge canadienne, fonds typhon Haiyan.
Pour l’occasion, le long métrage philippin On the Job du réalisateur Erik Matti, l’un des films-événements de la dernière édition de la Quinzaine des réalisateurs à Cannes, sera présenté lors de ces projections-bénéfices.
Avant chaque projection, DJ XL5, concepteur d’événements spéciaux au Festival international de films Fantasia, présentera le Filipino Zappin’ Party, un hommage d’une trentaine de minutes dédié au cinéma de genre philippin des années 70. Un nouveau montage rythmé et festif d’une trentaine de minutes composé de bandes-annonces et d’extraits de films créé expressément pour les fins de cet événement.
On the Job (v.o.sta.)
Genre: Drame policier
Philippines, 2012, 121 min.
Samedi le 23 novembre 2013 à 17 H et 20 H
Salle J.A. De Sève – Université Concordia
1400 de Maisonneuve Ouest (Métro Guy-Concordia)
Contribution par film : 10 $ ou plus
Connu en tant qu’ « homme invisible », le célèbre artiste chinois Liu Bolin, fidèle à ses habitudes, s’est fondu au travers d’un étalage de comic books, et ce, le deux novembre dernier à Caracas (au Venezuela).
Il se tenait alors debout devant les dizaines de couvertures colorées et ses assistants l’ont peint exactement comme le fond jusqu’à le faire « disparaître ». Il a déjà fait le coup à plusieurs reprises avec des magazines, des légumes… et même le paysage de Venise, mais cela demeure encore et toujours des plus extraordinaires quoique quelque peu plus anecdotique que la première fois qu’il a fait cela.
C’était en 2005, le gouvernement chinois faisant à sa guise table rase pour la préparation des jeux Olympiques de 2008 a démoli le village d’artistes de Suojia Cun et par le fait même le studio de M. Bolin. Désemparé et sans moyen financier, il répondit alors en créant sa propre disparition devant les ruines de son atelier. Mais, l’artiste clame qu’il ne disparaît pas en ses oeuvres, que c’est plutôt l’environnement qui s’empare de lui; que si l’homme évolue en détruisant son environnement, il oublie que, comme le caméléon, s’y fondre est son meilleur moyen de survie. (Pour en apprendre plus sur le pourquoi de son travail, cliquer ici.)
Après le saut, vous pouvez découvrir quelques photos qui démontre les dessous de cet exploit.
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En 1984, alors qu’il était âgé de 17 ans,Vin Diesel est apparu dans la production de Sony Breakin’ in the USA: Break Dancing and Electric Boogie Taught by the Pros, et ce, sous son véritable nom, soit Mark Vincent. Il s’agissait d’une VHS éducative qui démontrait, pendant 50 minutes, les trucs pour bouger comme un pro.
De nos jours, il est presque impossible de (re)trouver cette vidéocassette, mais par chance un certain Jordy Bogguss a créé un montage qui regroupe, entre autres, les quelques plans où cette future vedette de films d’action y danse.
(On le voit surtout à compter de la deuxième minute.)
Quelle belle raison d’utiliser le « snail mail »!
Le mardi 19 novembre prochain, le service postal américain (l’USPS) mettra sur le marché une série de vingt timbres spéciaux qui célèbre l’univers cinématographique d’Harry Potter. L’émission matinale The Today Show a présenté en primeur aujourd’hui six de ces timbres.
L’USPS a déclaré que les films d’Harry Potter ont donné un aspect physique aux personnages, aux créatures et aux places de l’univers magique de J.K. Rowling qui n’avaient jusque-là vécu que dans l’imagination de millions de lecteurs; qu’ils sont donc fier de célébrer cet univers magique avec un livret de 20 timbres présentant des clichés des films acclamés de Warner Bros.
Vous pouvez voir les cinq autres après le saut.
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Délicieux!
La pâtissière et geek friande de Star Wars TK Peggy a fidèlement recréé la fameuse « cantine de Mos Eisley » avec des carrés de Rice Krispies, du styromousse, un peu de ruban adhésif et des figurines d’Hasbro.
Elle a servie le tout en faisant jouer la musique du groupe qui y joue dans la fameuse scène.
Vous pouvez voir deux autres photos après le saut.
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Bullseye!
Sneaky Studios ont visé en plein dans le mille avec cette série de quatre affiches de tirs qui adopte la thématique de Star Wars et qui permettent de tuer un Stormtrooper qui tient la princesse Leia en otage, Darth Vader, Boba Fett et un Rancor.
Vous pouvez voir les trois autres magnifiques affiches (qui se vendent 32 $ US) après le saut.
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En 1994, alors qu’il était au sommet de la gloire grâce à Under Siege (1992), Steven Seagal a réalisé son premier (et seul) film, soit On Deadly Ground (En terrain miné au Québec) qui mettait, entre autres, en vedette Michael Caine et Billy Bob Thornton (qui n’était alors pas connu).
Cet expert en arts martiaux y interprétait un « expert en pétrole qui est engagé par une firme pour résoudre un problème de détail, mais se rend compte que c’est l’équilibre écologique de tout une région qui est en jeu. Il entre alors en conflit avec ses mandataires… jusqu’à l’explosion de l’action ainsi que d’une raffinerie. »
Le film qui bénéficiait d’un budget de 50 000 000 $ US n’a amassé que 38 000 000 $ US, mais il a tout de même atteint la première position du box-office nord-américain. Et il a permis à Steven Seagal de décrocher le peu glorieux prix Razzie du pire réalisateur, voilà certainement pourquoi il n’a jamais récidivé derrière la caméra. Notons que M. Seagal y était aussi nommé en tant que pire acteur et pire film (il était l’un des coproducteurs).
Mais, ce qui est important de se rappeler de ce film, malgré qu’il soit un bon souvenir de jeunesse pour certain d’entre nous, c’est la scène finale où Forrest Taft (le personnage de Seagal) prononce un discours environnemental qui se doit d’encore faire écho de nos jours, car bien que quelques petits détails ont été changés, demeure toujours des plus véridiques aujourd’hui.
🙁
C’était pourtant une si bonne idée!