Fight Club pour geeks gentlemen

Être informaticien dans la capitale mondiale, les ligues majeures du savoir technologique n’a rien de bien glamour. On ressent le même blues qu’un travailleur d’une fabrique de blouses, qu’un tondeur de pelouse… la tristesse du prolétaire, quoi. Alors que fait-on pour retrouver sa masculinité, un sens à sa vie lorsqu’on est enfermé dans un cubicule a tapé des lettres sur un clavier à longueur de journée? On punche à 17h et on s’en va taper sur des lettrés dans un garage de banlieue ordinaire.

– ‘xim Sauriol

Source : le compte Twitter de David™ (quebecviral)

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