J’ai eu la chance d’assister au lancement de Child of Light d’Ubisoft Montréal qui se déroulait dans une galerie d’art. Dans une atmosphère visuelle épurée, Patrick Plourde, directeur créatif du jeu, a présenté son nouveau-né avec la fébrilité d’un artiste qui se met à nu. Un piano blanc attendait Coeur de Pirate pour une prestation musicale. On dit des images de Child of Light qu’elles sont tellement belles qu’elles pourraient être accrochées au mur d’une galerie d’art. C’est exactement ce qui a été fait.
Le message est clair: Child of Light est une oeuvre d’art.
Bien que ça puisse être cliché à dire aujourd’hui… s’il existe encore des sceptiques qui croient que le jeu vidéo ne peut être de l’art ou générer de l’émotion, montrez-leur ce jeu.
Mais justement, c’est aussi un jeu. En est-ce un bon?