Cette semaine, un retour potentiel pour Rick Moranis, le duo Scott Snyder et Greg Capullo revienne à la charge avec une nouvelle série de Comics, Laurent vous propose quelques suggestions de lecture, Simon résume ses derniers « Thrillers » érotiques et Sam Raimi est convoité pour rejoindre l’écurie de Marvel Studios. En dernière partie d’émission, Silver Surfer Black de Donny Cates et Tradd Moore.
Cette semaine, on s’entretient en première partie d’émission avec le copropriétaire de la boutique Chez Geeks, Giancarlo Caltabiano, qui est aux prises dans une situation problématique avec Office québécois de la langue française pour la vente de jeux de table en anglais. On reçoit également le chroniqueur Pascal Forget qui vient nous parler de la fin de l’émission « La revanche des Nerdz » et on conclut l’épisode avec une discussion sur Silver Surfer: New Dawn de Dan Slott et Mike Allred. Bien sûr, comme à l’habitude, nous vous partageons également les dernières nouvelles sur l’univers de la pop culture, jeux vidéo, BD, films, télévision, etc.
Cette semaine, les Mystérieux étonnants discutent de Silver Surfer: Parable. Une rencontre improbable entre Stan Lee et le dessinateur Moebius. Bien sûr, comme à l’habitude, nous vous partageons également les dernières nouvelles sur l’univers de la pop culture, jeux vidéo, BD, films, télévision, etc.
L’artiste française basée à Sydney Blule, qui travaille de jour en design industriel pour, entre autres, Fila et L’Oréal, s’amuse le soir à créer diverses oeuvres inspirées de la pop culture dont notamment cette récente série d’illustrations minimalistes qui dresse le portrait de certains des plus grands superhéros, et ce, avec uniquement des taches de peintures à l’eau. Et c’est aussi cool que cette dernière phrase est longue!
En sa série intitulée The Quest for the Absolute, le photographe françaisBenoit Lapraymet en scène les grands superhéros de ce monde au beau milieu de la grande nature; ils y sont solitairement seul en pleine quiétude plutôt qu’au coeur des combats épiques qui font leur renommée.
C’est ainsi que Superman, Thor, Batman, Spider-Man, le Silver Surfer, Flash, Captain America et Wonder Woman y sont, au dire de l’artiste, en pleine quête de soi pour se trouver, se retrouver.
Contrairement à ce qui avait été annoncé hier lors de notre émission hebdomadaire, Marvel Studios et Fox ne se seraient pas entendu concernant l’obtention des droits des personnages de Galactus et de Silver Surfer en échange d’un délai supplémentaire qui permettrait à 20th Century Fox de réaliser un nouveau film de Daredevil avant que les droits de ceux-ci ne reviennent à Marvel.
Deadline rapporte maintenant que ces soi-disant pourparlers n’auraient jamais eu lieu. Le projet d’adaptation d’un nouveau long-métrage basé sur le personnage de Daredevil est en développement depuis un bon moment maintenant chez 20th Century Fox. Une production qui par ailleurs a été retardée lorsque le réalisateur David Slade a décidé de se retirer du projet.
Par ailleurs, l’expansion de l’univers cosmique de Marvel au grand écran est bel et bien une réalité depuis l’apparition-surprise du personnage de Thanos à la fin de The Avengers et l’annonce qui a suivi d’un long-métrage basé sur la série Guardians of the Galaxies. Un univers qui ne semblera pas complet sans la présence de deux de ces plus grands joueurs.
Voici un article qui provient de Francis Ouellette, coanimateur au 7ième Antiquaire sur CHOQ.FM.
Une confidence: parmi toutes les créations de Stan Lee et Jack Kirby, je ne crois pas qu’il y en ait de plus unique, de plus sublime que le Silver Surfer.
Tout autour de ce personnage aurait dû inciter au ridicule. La plupart d’entre vous le connaissez déjà: c’est un extraterrestre captif de sa condition, c’est-à-dire explorer la galaxie sur sa planche de « surf cosmique » à la recherche de planètes à dévorer pour son maître et créateur, un géant mauve vieux comme l’univers dénommé Galactus. Mais trêve d’historique…que les néophytes aillent sur Wikipedia.
Non, ce qui le rend sublime, c’est qu’il est l’esclave de sa condition et qu’il exprime à grands coups de tirades sa maudite engeance. Puissant comme un dieu, capable de littéralement surfer le cosmos mais forcé d’être un ange de la mort. Profondément amoureux d’une femme, Shalla Bal, mais incapable de la rejoindre. Immortel mais éternellement souffrant.
Silver Surfer, c’est un peu un Charlie Brown cosmique qui ne connaîtra jamais la paix. C’est le Nelligan de l’espace, le Rimbaud des étoiles…avec un surf.
Le surf est d’ailleurs ici très important: il évoque l’idée zen de l’homme ne faisant qu’un avec la vague ou dans le cas présent, l’univers.
Le personnage a d’ailleurs été souvent référé au cinéma, tout particulièrement dans des films avec Richard Gere (allez savoir pourquoi) Breathless et American Gigolo. Il y est une sorte de totem pour le personnage, archétype du mélancolique solitaire en perpétuelle partance et pourtant assoiffé d’amour.
Un jour, en lisant un comic particulièrement poignant avec le personnage, je me suis mis à imaginer, sans aucune raison particulière, une trame sonore d’Édith Piaf. Ne riez pas! C’était absolument glorieux: les mélancolies de la Môme et du Surfer se mêlaient doucement comme le sang et les larmes.
Vous en doutez hein? Vous vous foutez de ma gueule???
Alors de grâce, écouter ce petit vidéo que j’ai fait pour vous bande de sceptiques! Piaf, c’est la musique qu’il faut pour rendre justice à la grandiloquence du Surfer d’argent…Vous allez pleurer comme des fillettes, je vous jure…