Première bande-annonce de Tintin

Hier, nous avions le droit à une nouvelle affiche promotionnelle du film de Tintin réalisé par Steven Spielberg et produit en partie par Peter Jackson.

Aujourd’hui, une première bande-annonce complète a été révélée par les studios.

Le film met en vedette Jamie Bell, Daniel Craig, Andy Serkis, Simon Pegg, Nick Frost, Gad Elmaleh, Toby Jones et Mackenzie Crook, le film sera disponible en 3D, en 2D et en IMAX 3D à sa sortie le 23 décembre 2011.

The Adventures of Tintin: Secret of the Unicorn est basé sur les bandes dessinées Tintin: Le Secret de La Licorne ainsi que le douzième tome de la série, Le trésor de Rackham Le Rouge.

– Benoit Mercier

Première affiche de The Adventures of Tintin: Secret of the Unicorn

La première affiche de The Adventures of Tintin: Secret of the Unicorn,  un film réalisé par Steven Spielberg, a été révélé aujourd’hui sur les internets.

Mettant en vedette Jamie Bell, Daniel Craig, Andy Serkis, Simon Pegg, Nick Frost, Gad Elmaleh, Toby Jones et Mackenzie Crook, le film sera disponible en 3D, en 2D et en IMAX 3D à sa sortie le 23 décembre 2011.

The Adventures of Tintin: Secret of the Unicorn est basé sur les bandes dessinées Tintin: Le Secret de La Licorne ainsi que le douzième tome de la série, Le trésor de Rackham Le Rouge.

– Benoit Mercier


ARTIFICIAL INTELLIGENCE a dix ans: plaidoyer pour une consécration nécessaire

Récemment, ce fut le dixième anniversaire du film Artificial Intelligence, cette bouleversante fable restée essentiellement incomprise. Une timide commémoration, prenant la forme d’un blu-ray blu-ray anonyme (bien qu’attendu avec impatience par plusieurs) et la fête est finie.

Il me semble urgent (voir même vital) de retourner, 10 ans plus tard, sur la perception que les gens ont de ce film, question de lui rendre  justice. Les perspectives erronées qui lui sont attribuées l’ont presque condamné. Ne pas apprécier le film, c’est une chose.  Répéter ad nauseam les mêmes arguments pour l’exprimer, surtout quand il sont faux, est consternant.

C’est en 2001 que sort A.I. La date de sortie du « dernier » film de Kubrick, poétiquement, prophétiquement, évoque sa plus grande œuvre, la plus importante du cinéma à mon humble avis. Plusieurs d’entre vous le savez déjà, c’est un projet que Kubrick a développé pendant plusieurs décennies et qu’il a ensuite offert à Steven Spielberg de son plein gré, pour plusieurs raisons. Ce fut la rencontre entre deux philosophes, une symbiose créative, une fusion totale.

Au cinéma, je suis bouleversé par cette oraison funèbre de Spielberg, je suis convaincu de sa consécration, je suis catégorique qu’il est un des plus grands films de la nouvelle décennie. Ce qu’ Avatar aura été , je pensais qu’A.I le représenterait à l’époque.

Et puis le public, le critique, le maniaque de Kubrick s’est prononcé. Rien n’aurait pu me préparer à cette réaction. Ma consternation fut complète mais plus encore, je fus profondément attristé par la condescendance généralisée de cette réaction. Devant cette réception glaciale, j’ai légèrement douté de mon jugement. Je me suis ensuite rangé: le film était venu bien trop tôt. Il faudrait probablement une décennie avant que le public ne comprenne ce qu’il a condamné. L’association à 2001 aura été de mauvais augure; rappelons nous que l’opéra cosmique de Kubrick avait eu droit également à ce genre d’accueil.

Inutile de préciser à quel point on m’a trouvé prétentieux. De ma certitude émergea la colère. J’ai défendu le film becs et ongles presque une décennie. Depuis, je me suis assagi sur le sujet, mais non pas par résignation : j’ai eu le temps d’écouter ce que tout le monde pensait savoir du film.
Aujourd’hui, je sais sans équivoque la raison de son accueil. Elle tient plus ou moins à 5 éléments qui sont répétés constamment par l’essentiel des nombreux détracteurs, sur le même ton, avec les mêmes termes, comme une litanie. Les voici, accompagnés une fois pour toute de rectifications… 1-La perception qu’avait le public de Spielberg : en 2001, il se trouvait encore des gens persuadés que Spielberg n’était rien d’autre qu’une machine à blockbuster.

C’est un préjugé généralement entretenu par un bon nombre de gens, y compris certains cinéphiles. Ils ont tendance a oublier ce que Spielberg a vraiment offert à son public, une balance entre le film d’auteur et le divertissement populaire, entre la virtuosité technique et l’émotion pure. Les intellectuels sont très souvent inconfortables avec le mélodrame, surtout quand il opère bien. Ils sont forcés à l’émotion et ça les indispose. Ils trouvent ça grossier et vulgaire. Pourtant, le mélodrame est un genre qui possède sa mécanique propre, à l’instar de l’opéra ou de la tragédie. Il ne se targue pas d’être autre chose. Le mélo, le vrai, le poignant, c’est un art que Spielberg maitrise à merveille.

Le grand public, lui, peut probablement nommé tout au plus une dizaine de réalisateurs et leurs films. Dans leur cas, Familiarity breeds contempt, tout simplement (ahhh tu sais…l’est comme ça Steven…les juifs et les martiens!).

2-L’usurpation du projet de Kubrick par Spielberg

Ce qui ne c’est jamais produit. Kubrick avait longuement pensé à Spielberg pour le réaliser. Selon lui, A.I demandait la sensibilité de quelqu’un comme lui, capable de comprendre l’enfance, de maîtriser l’émotion mais aussi un virtuose technique. Kubrick voulait faire le film avec un vrai robot! Il a simplement attendu que la technologie puisse lui offrir une alternative.
Si Kubrick était un cinéaste-technicien qui s’interroge sur la condition humaine, Spielberg est un humaniste fasciné par les aspects techniques du cinéma.

3-La Trahison de Spielberg envers Kubrick :
J’ai entendu cette phrase tellement de fois. La vision de Spielberg a contaminé celle de Kubrick. Les obsessions thématiques de Spielberg ont été engoncées de force dans le scénario original et patati…

Faux. La collaboration entre les deux fut très étroite. Comme ce fut toujours le cas chez Kubrick, les recherches, les storyboards, les sketches et le scénario sont des œuvres volumineuses. Elles furent respectées à la lettre par Spielberg. À la limite, il serait juste de dire que le projet de Kubrick avait déjà une facture…spielbergienne.

4-L’obsession pour le génocide et les extraterrestres:

Finalement, c’est vraiment de ça qu’on accuse le plus souvent Spielberg.

L’idée du génocide (des robots) est celle de Kubrick. Elle traverse d’ailleurs son œuvre assez souvent. Kubrick a longtemps travaillé à la conception d’un film sur le sujet intitulé Aryan Papers. Il l’a abandonné après avoir vu Schindler’s list, un des plus grands films de l’histoire du cinéma selon lui. C’est d’ailleurs ce film qui l’a finalement convaincu de donner A.I à Spielberg

Les « extraterrestres de la fin » (soupirs).

Vous savez, même si ça en était, le film ne perdrait rien de sa puissance. Par ailleurs, le Deus ex machina de leur apparition à la toute fin du film n’a rien de facile: c’est un processus scénaristique vénérable s’il en est (ne perdons pas de vue que A.I emprunte au conte).
La fin du film est tout de même traversée d’une certaine grâce. Cela dit, ces extra-terrestres, ce n’en sont pas. Les créatures de la fin sont l’évolution future des robots, désormais des êtres vivants à part entière. Ils sont des robots vivants, tout simplement. Un forme de vie synthétique parfaite.

Les gens ont tendance à condamner un film si la fin les déçoit, comme si la qualité de l’œuvre au complet pouvait être annulée par les quelques minutes de la fin. Dans le cas d’A.I, l’incompréhension de la fin, causé par les préjugés du public, retire énormément de puissance au propos.

Si les robots angéliques de la fin sont désormais des êtres vivants, c’est directement à cause de la soif d’amour et des aspirations de petits robots comme David. Il fut le premier, l’initiateur, un homme parmi les singes. La simplicité de son désir aurait eu le temps de s’enrichir à travers les siècles jusqu’à ce que, virtuellement, elle devienne le balbutiement d’une essence. Il est la confirmation d’un passé lointain où cette race a commencée à désiré, vouloir et, au final, exister.

5-La fin naïve et mélodramatique:

Une lame à double tranchant. La fin l’est sans doute pour quiconque n’ayant pas saisi les éléments mentionnés plus haut. Dans quel cas votre lame est émoussée. La fin sera donc attribuée, préjugés obliges, à Spielberg. Le robot à simplement droit (certain diront que c’est suffisant) à l’amour de sa mère.

Dommage: la fin est on ne peut plus Kubrickienne; David a droit à l’illusion de l’amour. C’est la leçon ultime du film, profonde et lourde. La manquer, c’est écouter une fable et ne rien comprendre de la leçon finale parce qu’on est consterné par la faculté de parole des animaux.
Il n’y a aucune différence entre le simple désir binaire d’un robot et celui des hommes, provenant d’une ancienne programmation organique. Avant de vouloir être aimé, le singe n’a voulu qu’une chose. Survivre. Il en sera indubitablement de même avec les intelligences artificielles, dans le torrent des siècles. Selon Spielberg, le robot a des vrais émotions. Selon Kubrick, les émotions humaines sont un programme. Au final, tout le film est basé sur cette balance entre deux opposés qui disent la même chose.

Je conclus ma litanie. Je ne suis pas seul. Un nombre grandissant de gens sont de mon avis et le verbalisent de manière pertinente tous les jours sur Internet.

Cette année, Artificial Intelligence a dix ans. Y’a pas beaucoup de monde à la fête. On se revoit dans une autre décennie?

« maybe it’s not such a surprise that AI had difficulty finding a audience and ended up being one of Spielberg’s rare box office also rans. That was the price Spielberg paid for demonstrating the artistic integrity so many doubt he has, and for the ingenuity he is almost never given credit for. AI: Artificial Intelligence, though the most remarkable film of 2001, may prove to be a movie for the future. »

-FRANCIS OUELLETTE

 

Le retour de E.T.

Il y a des suites qui ne devraient jamais être produites. C’est sans doute pour cela que le réalisateur Steven Spielberg n’est jamais retourné à l’univers qu’il a créé avec E.T. the Extra-Terrestrial.

Par contre, nous sommes à l’ère de l’internet et il est évident qu’avec les outils à la disponibilité des internautes aujourd’hui, ce n’était qu’une question de temps avant que ce mashup/ fausse bande-annonce voir le jour.

– Benoit Mercier

Jurassic Park the Game arrive chez Telltale

Telltale Games, le studio derrière le jeu de Back to the Future et la populaire franchise Sam & Max, s’attaque désormais à une nouvelle franchise appartenant à la Universal Pictures. Cette foi-ci, nous plongeons dans l’univers de Jurassic Park adapté au cinéma par Steven Spieldberg d’après un roman de Michael Crichton.

De ce que nous pouvons en conclure en regardant la bande-annonce, le jeu se déroulera vraisemblablement pendant les évènements du premier film. Telltale promet une expérience immersive rappelant l’atmosphère du film. Pour ce faire, les designers du jeu ont étudié le film du réalisateur Steven Spieldberg afin de transposer le ton du long-métrage au jeu vidéo.

Le premier épisode de Jurassic Park the Game sortira en avril prochain sur PC, MAC et console.

– Benoit Mercier

Nouvelles images du film de Tintin

De nouvelles images de The Adventures of Tintin: The Secret of the Unicorn ont été mises en ligne aujourd’hui.

Le film met en vedette Jamie Bell (Tintin), Andy Serkis (Captain Haddock), Daniel Craig (Red Rackham), Toby Jones (Silk), Mackenzie Crook (Ernie), Tony Curran (Lt. Delcourt) et plusieurs autres.

Il est co-écrit par Edgar Wright (Scott Pilgrim vs. the World), Joe Cornish (Ant-Man) et Steven Moffat (Doctor Who), donc le scénario est entre bonnes mains.

Peter Jackson y tient le rôle de producteur, tandis que Steven Spielberg réalise le long-métrage.

The Adventures of Tintin: Secret of the Unicorn sort en salle le 28 décembre 2011.

Cliquez ici pour plus d’images.

– Benoit Mercier

Premières images de Tintin : The Secret of the Unicorn

Le magazine Empire a révélé les premières images du film de Steven Spielberg et Peter Jackson, Tintin : The Secret of the Unicorn.

Est-ce que c’est juste moi ou Tintin ressemble à une fille?

– Benoit Mercier


Mario: l’influent

« Mario fête officiellement ses 25 ans cette année. Un quart de siècle à bondir et à manger du champignon pour libérer la princesse Peach du terrible Bowser. Et le plaisir immédiat qu’évoquent ces noms, pour toute une génération, ne doit pas faire oublier les bouleversements industriels et culturels qui furent causés par ce petit plombier. »

C’est ainsi que Rafik Djoumi débute son texte soulignant l’anniversaire du plombier le plus populaire. Multipliant les références et parralèles tant à Buster Keaton qu’à la montée en puissance de l’économie japonaise et comparant son créateur Shigeru Miyamoto à Méliès plutôt qu’à Spielberg, cette critique de cinéma réussit une belle analyse de l’influence que Mario a sur les jeux vidéos et au-delà.

Pour découvrir ce texte et de magnifiques vidéos et images, cliquez ici.

– ‘xim Sauriol

Back to the Future fête ses 25 ans!!

Back to the Future, le populaire film du réalisateur Robert Zemeckis, fête ses 25 ans. Le tout premier film de la trilogie fut projeté pour la première fois sur les grands écrans le 3 juillet 1985.

Le film mettait en vedette Michael J. Fox (Marty McFly) et Christopher Lloyd (Dr. Emmett Brown).

– Benoit Mercier


Will Smith sera de retour pour Men in Black 3

Variety rapporte que Will Smith fera partie de la distribution du troisième film de Men in Black.
Le film sera réalisé par Barry Sonnenfeld, le réalisateur des deux premiers chapitres, Steven Spielberg, quant à lui, sera producteur exécutif sur le projet.

La production du troisième film est censée débuter à l’automne prochain. La suite sera disponible en version 3D à sa sortie.

Tommy Lee Jones
est présentement en négociation pour reprendre le rôle de l’agent Kay.

La sortie du film est prévue pour le 25 mai.

– Benoit Mercier